mercredi 6 février 2013

Chapitre 26 - Une certaine vision des choses


L'air salé lui faisait du bien. Le vent qui ébouriffait ses cheveux, lui rappelait le Quidditch. Il nota mentalement que pour sa santé, justement mentale, ils devraient tous en faire une partie très prochainement. Il était vrai que les derniers événements n'avaient pas laissé de place pour la paresse. C'était enfin son premier jour de vacances. Il faut dire qu'il avait écouté sa petite amie qui était une obsédée des choses finies en bonne et due forme ; autant dire que c'était de la folie ! Il adorait Lily... non, plus que ça, il l'aimait comme un fou, mais qu'est-ce  qu'elle était accroc aux études ! Et plus James déroulait le fil de ses pensées, plus il se rendait compte de la force de persuasion de ce petit bout de femme. Elle, Lily Evans, avait réussi à convaincre trois garçons de dix-sept ans de passer les examens des A.S.P.I.Cs plutôt que de profiter de leur malencontreuse aventure en fin d'année pour y échapper. Eux, les Maraudeurs, toujours à profiter du système ! De toute façon, maintenant qu'ils avaient tous les quatre leur diplôme en poche, l'ex-Gryffondor n'allait plus se plaindre.

Le bruit des vagues allant et venant le berçait paisiblement. Oui, elle avait eu raison de les pousser à finir cette septième année ; c'était une bonne idée. Et les bonnes idées, elle en avait eu plus d'une. Ce lieu paradisiaque, c'en était une autre. Lui n'y aurait jamais pensé, en bon petit anglais conservateur qu'il était. C'était elle qui avait eu envie de visiter un pays exotique. C'était encore elle qui avait eu envie de cette maison sur la plage.

James se décida à ouvrir les yeux pour observer les silhouettes de Sirius et Remus ainsi que celle de sa chérie se dessiner dans l'eau turquoise du paysage qui s'étendait devant lui. Les cheveux de sa chère et tendre flamboyaient et il eut envie d'aller les caresser. Il était si heureux de pouvoir la considérer comme sienne. Il était si heureux qu'elle ait accepté d'être sa petite amie. Car après son séjour à l'infirmerie, tout n'avait pas été gagné d'avance, contrairement à ce qu'on aurait pu croire. Si la pression de la Guerre l'avait rendue méfiante, il était évident et facilement prévisible que la pression du Destin aurait la même conséquence. Et il pouvait aisément la comprendre ; plus on leur disait qu'ils étaient faits l'un pour l'autre, plus un doute s'insinuait. C'était trop attendre d'un couple qui n'était même pas encore formé. Comment construire un amour, comme le faire grandir et forcir quand une telle chape de plomb pèse au-dessus de vous ? Plus on disait à Lily qu'elle était faite pour être avec James, plus elle avait peur. 

Alors, il avait tenté le tout pour le tout : il avait demandé aux Maraudeurs de ne plus parler de cette histoire d'Union, de faire comme si de rien n'était et surtout, de ne pas sous-entendre qu'ils étaient destinés à finir leurs vieux jours ensemble. Et ça avait marché ! Avec soulagement, il avait remarqué qu'elle était revenue vers eux, qu'elle s'était à nouveau intégrée et qu'ils avaient pu reprendre là où ils s'étaient arrêtés. Car oui, ce n'est pas parce que James avait l'intime conviction qu'elle était la femme de sa vie, qu'il n'avait pas fallu la charmer, passer par les regards timides et les petits baisers. Ils avaient avancé tout doucement et il était fier d'avoir tenu sa langue pour lui mettre le moins de pression possible. C'était comme ça qu'ils étaient heureux.

- Alors, comme ça on rêvasse ? demanda une voix aussi malicieuse que mélodieuse.
- La question n'est pas s'il le fait, mais de savoir qui ça concerne ! répondit la voix rieuse de Sirius à sa place.

Ce n'est qu'à ce moment-là qu'il se rendit compte qu'il avait à nouveau fermé les yeux et qu'à présent un parfum enivrait ses sens pendant que la douce peau de sa dulcinée touchait la sienne à de multiples endroits.

- Oui, t'as raison Sirius, je vais reformuler. À qui penses-tu, mon chéri ?
- À toi, bien évidemment. À qui d'autre ? répliqua-t-il, amusé qu'elle puisse penser qu'une autre option soit envisageable.
- Charmeur...
- Comme quoi, les points de vue sont toujours important, fit remarquer Remus, une serviette autour du cou. Avant c'était un sale dragueur de Maraudeur et maintenant...Juste un charmeur !
- Pff, s'exaspéra le sale dragueur en question, vous êtes toujours obligé de lui rappeler les passages peu glorieux de mon existence ?!
- Je t'avoue que je regrette que Lilounette ait été là pour la plupart d'entre eux, ça gâche mon effet de surprise, se lamenta le jeune Black.
- Ouais mais au moins ça gâche aussi les chances qu'elle me quitte à cause de ça !
- Meuh non, tu dramatises tout, Corny chéri ! La Tigresse est en fait un petit chaton tout doux.
- Comment ?! s'exclama la jolie rousse, se retenant difficilement de rire. Voyons, James, tu sais bien que Sirius a raison ! Je n'aurais jamais pu te quitter sur un coup de tête ! Voyons, m'emporter c'est pas du tout mon genre ! Moi ?! Nooon ! Caractère volcanique ? Je ne connais pas.
- Vous voyez ! se désespéra James tout en calant son amour contre son torse chaud. Même elle, elle le reconnaît.
- Je savais bien qu'elle serait corrompue dès que notre Jamesie enroulerait sa langue autour de la sienne.
- Je ne suis pas corrompue, j'ai des intérêts, c'est très différent, lança-t-elle énigmatique.

Le jeune Potter embrassa le cou de son amoureuse pour dissimuler son grand sourire. Ça y est, elle allait encore monter un bateau énorme pour faire courir ses deux idiots qui lui servaient d'amis. Il allait encore se régaler du spectacle.

- Quel genre d’intérêt ? J'espère que c'est vénal ou sexuel, sinon c'est pas marrant !
- Et si je te dis qu'il se pourrait bien que ce soit les deux ? répondit-elle en imitant à la perfection les haussements de sourcils suggestifs et faussement subtiles de Sirius.
- J'aime cette femme, soupira James, plein d'admiration.
- Bon c'est bien joli tout ça, mais je suis le seul à avoir une faim de loup ?
- Mais c'est qu'il devient hilarant à la longue, notre Lunard ! remarqua Sirius, mi-moqueur, mi-admiratif.
-  Je me dévoue ! De toute façon, qui laisserait la cuisine aux mains d'un Maraudeur, hein ?
- Peter cuisine bien, se rappela Remus.

À l'entente de son prénom, les poils de James se hérissèrent mais il n'y prêta pas attention. Lily venait de se raidir au même moment et il cherchait à savoir pourquoi.

- Comment va-t-il, d'ailleurs ? demanda la jeune Evans d'une voix quelque peu tendue. A-t-il accepté votre proposition ?
- Oh, il se porte bien, ma foi. Des dernières nouvelles que j'en ai eues, il nous remercie encore mais il décline notre invitation à nous rejoindre.

James sentit à ce moment-là les muscles de sa jolie dulcinée se détendre doucement. Pourquoi Peter lui procurait-il autant de stress ?

Il avait la vague impression qu'au fond de lui-même, il le savait. Mais l'information semblait glisser plus encore qu'une anguille.

- Il préfère s'installer dans son nouvel appartement et mettre en place sa vie après Poudlard.
- C'est sage de sa part, ajouta la jeune femme poliment.
- Bon, Lilounette, et ce dîner ?! s'impatienta Sirius, cherchant certainement à faire fuir le sentiment de malaise qui s'était insinué peu à peu ; le jeune Black avait toujours eu un don pour sentir les changements d'ambiance, surtout quand ceux-ci devenaient lourds ou gênants et il parvenait toujours à détendre ceux qui l'entouraient.

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Une douce musique au rythme suave caressait ses oreilles depuis quelques minutes. Lily lui avait demandé d'attendre sur le canapé du salon, quelques minutes après que Sirius et Remus aient décidé de les laisser en tête-à-tête et soient allé danser dans une boite de nuit du coin. Il se demandait d'ailleurs si tout cela était une incroyable coïncidence mais son esprit était bien trop occupé à imaginer tous les scénarios plaisants d'une surprise préparée par Lily pour pouvoir répondre à cette question.

La jolie rousse apparut finalement dans une splendeur de sensualité et de féminité. La beauté de ses courbes gracieuses était soulignée par de jolis dessous noirs qui tranchaient avec sa peau crémeuse qu'il avait déjà envie de goûter. Elle avait lâché ses cheveux comme elle savait qu'il adorait. Il fut fier de faire naître une lueur de satisfaction dans le regard de son amoureuse. Sa réaction devait lui plaire. Et ça tombait bien, car pour lui, c'était elle qui lui plaisait. Énormément. À un point démentiel.  

Elle s'avança vers le jeune homme de sa démarche gracieuse et aérienne ; ce qu'il adorait la voir marcher. Ses hanches étaient dessinées parfaitement grâce à la lueur des bougies qu'elle avait installée ça et là.

- Tu es d'une beauté ma chérie, souffla-t-il après quelques minutes d'intenses effort pour ne pas lui sauter dessus.

Elle lui offrit un grand sourire et s'assit à ses côtés. James ne l'entendit pas de cette oreille et comptait la sentir un peu plus près de lui que ça. D'accord, BEAUCOUP plus près que ça.

Il la saisit par la taille et l'installa sur ses cuisses pendant que son rire s'élevait dans l'air et égayait toute sa vie.

- Tu croyais pouvoir m'échapper, hein, vilaine petite chérie sexy !
- Oh oui, je voulais tellement t'échapper que je t'ai dit de m'attendre ! répliqua-t-elle, moqueuse.
- Tu vas payer cet affront ! déclara le beau brun en essayant d'avoir l'air effrayant.
- J'en frissonne d'avance...

Il s'approcha lentement de sa bouche d'un rose prononcé et attirant. Elle était si belle et si bien faite qu'on aurait dit une œuvre de peintre. Ses traits étaient faits pour plaire, pour être admirés, comment pouvait-il en être autrement.

Le bout de sa langue vint à la rencontre de la texture de cette si belle image. Elle était douce, alléchante. Elle était aussi faite pour être goûtée, faite pour qu'il soit dévoré par le désir, faite pour le rendre gourmand d'elle, affamé d'elle. Il chercha à ouvrir les portes de sa bouche divine. Il s'attarda sur ses commissures pour les embrasser pleinement et caressa de tout son long la ligne de séparation de ses lèvres.

Le jeune homme finit enfin par placer ses mains dans ses si beaux cheveux et accéda à l'exquise chaleur de sa langue. Les doigts de Lily parcouraient son dos et lui procuraient des frissons tout aussi puissants que délicieux. Il enroula fermement sa langue autour de la sienne avant de reprendre un peu d'air. Dans ces instants-ci, il détestait avoir besoin de respirer.

- J'adore quand tu m'embrasses, murmura la jeune femme tout aussi à bout de souffle que lui.
- Et moi donc...

Elle décala légèrement sa tête vers son oreille pour murmurer tendrement :

- Alors, tu as deviné ce qu'était ta surprise ?
- Ne serait-ce pas...Quelque chose comme...ça...

James agrippa ses hanches et la bascula sous lui pour pouvoir la surplomber. Il la coucha tendrement et après l'avoir admirée une fois de plus, il plongea sa bouche avide dans le cou crémeux de sa chère et tendre. Il entendit un soupire qui le fit frémir et commença à lécher de part en part cette zone d'une douceur infinie. Parfois, il sentait, juste en dessous de ses lèvres, son pouls taper à vive allure, diffusant une chaleur intense en lui. Puis, lentement, James glissa sur l'endroit où son cœur battait, se demandant s'il y avait une place pour lui, une place qu'il espérait énorme, tout comme elle en avait une dans le sien. Une chose était sûre, leur histoire était si compliquée qu'il était d'une logique infaillible qu'elle devait forcément ressentir un minimum de sentiment pour s'accrocher comme elle l'avait fait. Et puis, il n'oubliait pas tout ce qu'elle lui avait dit ou même ce qui était écrit dans sa lettre de... Mais il attendait patiemment qu'elle se décide à lui dire encore une fois, enfin face à face. Il voulait desceller toutes les nuances de couleurs, d'intensités et de brillances des prunelles de la femme qu'il aimait quand elles y contiendraient de l'amour. Il souhaitait absolument observer sa bouche quand elle s'ouvrirait pour permettre aux mots « je t'aime » d'être délivrés. Il tenait à analyser chaque trémolos qui pourrait se mêler à sa voix à ce moment même. James ne voulait pas manquer le moment clé de son existence ; celui où il serait sûr que ses deux besoins vitaux seraient en parfaite harmonie.

Le jeune amoureux amena sa main contre le sein de Lily et commença à le presser délicatement contre sa bouche. Il était fou de cette peau, qu'il aspira passionnément contre sa langue. Il entendit un gémissement qui le rendit plus assidu encore dans sa tâche et caressa alors plus vigoureusement ce dôme de sensualité.

- J'ai tant envie de toi...
- James... Chéri... Attends... souffla la jeune femme, la respiration erratique.
- Qu'il y a-t-il ? répondit le beau Potter en relevant la tête pour la regarder.
- On ne peut pas faire l'amour tout de suite, annonça-t-elle rougissante.
- On commençait à faire l'amour, là ?!

Sa réplique stupide eut le don de la faire rire mais il reçut tout de même une petite tape sur le bras.

- Ma surprise c'était qu'on allait dormir ensemble. Dormir.
- Bah ! s'exclama James. Je le savais ! 
- Menteur ! rit-elle.

Il remonta un peu pour pouvoir l'embrasser langoureusement. Elle était bien trop jolie quand elle riait.

- Tu sais, on prendra tout le temps qu'il faudra pour faire l'amour.
- Je sais. Avec toi, je ne suis pas inquiète. Je sais que tu fais attention à moi. Et j'apprécie que malgré tout ce qu'il s'est passé cette année, tu n'as pas pris pour acquis le fait que j'irais forcément aussi loin sous prétexte qu'on l'avait déjà fait auparavant, à Poudlard.
- C'est normal. Et puis tu étais si perturbée, si mal, je ne peux pas considérer que c'était ton état normal.
- Oui mais l'attirance était bien réelle et bien normale, elle.
- Merci, susurra-t-il, ému.

Il la serra fort dans ses bras et l'embrassa de plus belle.

- J'aime tes copains mon coeur, déclara la belle rousse en caressant les joues de James. Ils savent être délicats, finalement.
- Et oui, aussi étonnant que ça puisse paraître à cause de notre gêne de Mâle...
- Et votre gêne de Maraudeur aussi !
- Vilaine !
- Au moins, on ne s'ennuie jamais avec vous. Il faudrait vous louer pour mettre l'ambiance dans les mariages et communions...
- Les quatre Fantastiques à votre service, Madame !

Le sourire de son amour se fana soudain puis apparut de nouveau, quelques secondes plus tard. Le jeune diplômé fronça les sourcils. Pensait-elle encore à Peter ? Ils venaient bien d'évoquer quatre Maraudeurs et non pas trois...

- Ma puce ? Y a-t-il un souci avec Peter ? J'ai remarqué que tu étais...tendue, lorsqu'on l'évoquait.
- Oui, il y en a un, effectivement. Je n'osais pas t'en parler car ça aborde un sujet difficile pour moi et ensuite, c'est délicat car c'est ton ami et je ne veux pas être le genre de fille à briser une amitié.
- Mais toi tu es mon amour. Alors, parle-moi.

Il caressa tendrement sa mâchoire.

- Bien que ça provoque beaucoup d'angoisse chez moi, soupira-t-elle en fermant les yeux, on ne peut pas nier que nous avons un sort puissant qui nous unit. On ne peut pas non plus nier qu'il nous a permis de voir l'avenir à de multiples reprises pour nous protéger l'un l'autre. Et on ne peut pas nier que le rêve que nous avons fait, le rêve où Peter est un traître, ait l'air d'un rêve prophétique. Je sens une magie autour de ce songe, mais j'ai tellement peur de me tromper... J'ai essayé de trouver une preuve qui pourrait innocenter Peter. Seulement, il y a un fait indiscutable : nous avons fait ce rêve tous les deux. Sérieusement, combien de chances a-t-on que ce soit un rêve normal ? On dirait une vision de l'Union.

- Mais, chérie, répondit James en fronçant les sourcils d'incompréhension. Je n'ai jamais rêvé d'une traîtrise de Peter !
- Mais bien sûr que si ! C'est même la dernière chose que tu as vue avant de te réveiller à l'infirmerie. Tu étais tellement perdu que tu croyais qu'on était marié et qu'on avait réellement eu Harry. Souviens-toi !

À l'entente de ce prénom, James eut un choc et revit quelques bribes de ce fameux rêve. Mon dieu, son petit bébé...Sa douce femme...

- Ce n'est pas un petit danger qui pèse sur nos épaules, murmura la jeune femme, ayant elle-même un regard dans le vague. Je sais que c'est trop tôt et je ne sais même pas si un jour nous irons suffisamment loin pour avoir un bébé ensemble. Alors, j'essayais de me taire, d'être la plus courtoise possible avec Peter. Le souci, c'est que ce rêve semble ancré en moi, il n'y a pas moyen, mes sens sont en alerte lorsqu'il est là, je me sens nerveuse et je ne peux le contrôler.

- Écoute ma douce chérie, dit-il en caressant sa joue pour l'amener à le regarder dans les yeux. On va prendre des sécurités. Sirius, Remus et moi rendront de temps à autre visite à Peter pour ne pas le bannir complètement de nos vies mais nous ferons attention, d'accord ? Et si jamais un jour, nous avons un petit bébé, quel qu'il soit, que ce soit Harry, Francis, Lilas ou Norah, on le protégera. Si jamais nous sommes obligé de soumettre notre maison au Fidélitas, on le fera et on prendra Sirius et personne d'autre. Même si les gens s'y attendent, on l’emmènera loin, on se débrouillera. Mais tu peux être sûre d'une chose, jamais, jamais personne tu m'entends, ne touchera à un de tes cheveux, Mage Noir ou petit voleur, je te protégerai toujours. Et si un jour nous nous rendons compte que nous avons mis Peter de côté par erreur, il ne sera jamais trop tard pour lui expliquer. Rien n'est définitif sauf le fait que tu auras toujours ma protection, que tu sois loin ou à deux millimètres de moi. Je t'aime Lily. Pour l'éternité.

Et c'est au bord des larmes, avec la voix tremblante qu'elle répondit :

- Moi aussi, James, si tu savais comme je t'aime.

Ils s'enlacèrent alors et ne se lâchèrent plus. Ils auraient largement le temps de se préoccuper de cela, plus tard. Il n'y avait pas de quoi être inquiet. L'Union ne les protégeaient pas seulement de la Mort, elle empêchait leur séparation.

 James en était maintenant persuadé. 



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FIN
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Voilà. C'est fini. Eh bien...ça laisserait presque sans voix. J'espère évidemment que c'est une fin satisfaisante pour vous.

Je remercie mes lecteurs, ceux qui ont partagé leurs avis comme ceux qui ont juste pris le temps de s'arrêter sur mes écrits ; ma motivation provient de ces échanges.

Merci à Mily pour m'avoir hébergée sur son blog.

À bientôt pour de nouvelles aventures, ma tête fourmille d'idées et finir une fiction m'a permise de prendre conscience que moi aussi, j'étais capable d'écrire et de tenir quelque chose d'au moins cohérent et d'au mieux, agréable à lire.

Cassy Guardian.

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